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mercredi 29 juin 2016

La troisième loi de Newton - Jean-Luc Luciani


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Quatrième de couverture:

Medhi a passé son enfance dans une cité. À trente ans, il travaille comme chauffeur livreur dans le sud de la France et vit désormais dans un petit studio.
Un soir où il se rend à une soirée organisée par des amis, il retrouve Mounia, une femme de son âge, qui a été violée alors qu’elle avait 17 ans.
Medhi connaît l’identité des quatre agresseurs et décide de rendre sa propre justice.


Une cave, quatre jeunes garçons masqués et une fille chahutée par le groupe.
Une nuit de terreur et d’avilissement. Attention à l’effet boomerang !
Chaque action entraîne une réaction.

lundi 27 juin 2016

A vous de trouver ma prochaine lecture !

EDIT : Suite à vos votes ma lecture sera donc "Les infâmesavec 9 voix ! (Gangsterland, Par un matin d'automne et la curiosité est un péché mortel sont arrivés ex aequo avec 3 voix et Le théorème du homard a reçu 2 voix) .

Merci encore d'avoir participé ! on se donne RDV le mois prochain pour une nouvelle sélection !

Aidez moi à choisir "votre" futur chronique ! Pour cela vous devez me dire ce que je vais lire  pour le mois de juillet ???

Le mois dernier , c'était "Le héro discret" qui avait remporté tous les suffrages, vous pouvez retrouver mon retour lecture juste ici .

Donc voici les 5 romans présent dans ma PAL que je choisis de mettre en compétition ce mois-ci . Je vous ferai une chronique sur le roman qui aura été le plus plébiscité . Je vous laisse jusqu'à mercredi pour faire votre choix.

Voila ma petite sélection  :


Tueur à la solde de la mafia de Chicago, Sal Cupertine est ce qui se fait de mieux dans le genre : discret, redoutablement efficace et doté d’une mémoire hors norme, il ne laisse jamais la moindre trace derrière lui. Jusqu’au jour où une opération tourne mal – très mal. Après avoir été contraint d’éliminer trois agents du FBI, Sal quitte la ville, caché dans un camion réfrigéré. Sa carrière est terminée. À moins que…

Une opération chirurgicale plus tard, Sal Cupertine n’est plus : il a laissé la place au rabbin David Cohen, officiant à Las Vegas au sein d’un temple réformé. À sa propre surprise, notre homme, désormais capable de citer des passages entiers de la Torah, se prend au jeu. Mais ses employeurs n’en ont pas terminé avec lui. Le cimetière dont Cohen a la responsabilité est utilisé par la mafia comme plaque tournante de trafics en tout genre et, pour ne rien arranger, le FBI est toujours à ses trousses : arrivé en ville, l’agent spécial Jeff Hopper a juré de venger la mort de ses trois collègues. Bandit d’un côté, homme de Dieu de l’autre, Sal ne va pas s’en tirer si aisément !


Freedom Oliver, alcoolique et suicidaire, a passé dix-huit ans à se cacher dans une petite ville de l’Oregon, sous protection du FBI. Hantée par son passé douloureux et la mort brutale de son mari, elle souffre d’avoir abandonné ses deux enfants pour échapper à la vengeance de son beau-frère. En apprenant la disparition de sa fille Rebekah, élevée par un pasteur aux croyances radicales, elle part avec l’énergie du désespoir pour le Kentucky. Après tant d’années à se cacher, quitter l’anonymat c’est laisser à son bourreau l’occasion de la retrouver. Et de se venger.

Entre les paumés magnifiques, les flics indélicats, les dégénérés de sa belle-famille et de dangereux fanatiques religieux, son périple tourne à l’odyssée.


Fin des années 1990. Leonora Galloway entreprend un voyage en France avec sa fille Penelope. Toutes deux ont décidé de se rendre à Thiepval, près d’Amiens, au mémorial franco-britannique des soldats décédés durant la bataille de la Somme. Le père de Leonora est tombé au combat durant la Première Guerre mondiale, mais la date de sa mort gravée sur les murs du mémorial, le 30 avril 1916, pose problème. Leonora est en effet née près d’un an plus tard. Ce qu’on pourrait prendre pour un banal adultère de temps de guerre cache en fait une étrange histoire, faite de secrets de famille sur lesquels plane l’ombre d’un meurtre jamais résolu et où chaque mystère en dissimule un autre. Le lecteur est alors transporté en 1914 dans une grande demeure anglaise où va se jouer un drame dont les répercussions marqueront trois générations.

En 1864, Lizzie Martin se rend à New Forest pour servir de dame de compagnie à la jeune Lucy Craven, endeuillée par la mort de son nourrisson. Mais pourquoi cette dernière ne cesse-t-elle de clamer que le bébé lui a été volé ? Pour sa famille, il est clair que Lucy a perdu la raison. Des suspicions bientôt accrues lorsqu’un homme est retrouvé assassiné, la jeune femme couverte de sang à ses côtés. Afin de démêler cette affaire, Lizzie aura bien besoin de toute l’aide de son ami de Scotland Yard, le bel inspecteur Benjamin Ross…




Peut-on trouver une épouse sur mesure ? Le professeur de génétique Don Tillman, génie des sciences mais absolument inapte à vivre en société, en est persuadé. Pour mener à bien son « Projet Épouse », il met au point un questionnaire extrêmement détaillé lui permettant d'éliminer toutes les candidates qui ne répondraient pas à ses exigences. Et celles-ci sont nombreuses, car pour Don :
la femme idéale NE DOIT PAS
1. Fumer et boire.
2. Être végétarienne et aimer la glace à l'abricot.
3. Se lever après 6 heures.
Mais elle DOIT
1. Faire du sport.
2. Être ponctuelle.
3. Accepter le Système de Repas Normalisé qui prévoit du homard au dîner le mardi.

S'il y a bien une personne qui ne remplit aucun des critères établis, c'est Rosie Jarman, étudiante le jour et barmaid la nuit, dont la vie est aussi désordonnée que celle de Don est méthodiquement organisée...


A vos votes !

dimanche 26 juin 2016

Le héros discret - Mario Vargas Llosa

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Quatrième de couverture:

Après plusieurs romans situés dans les géographies les plus éloignées dans l'espace et dans le temps (le Congo belge, le Tahiti de Gauguin), Mario Vargas Llosa revient au Pérou et fait de son pays natal le décor du Héros discret.
Il nous dépeint la situation actuelle d'une société dopée par une croissance économique sans précédent mais qui voit également se développer la corruption, la cupidité et le crime.
À Piura, Felícito Yanaqué, patron d'une entreprise de transports, est l'objet de chantage et d'intimidations mafieuses. Aussi frêle de corps qu'énergique de caractère, il saura cependant y faire face, et son opiniâtreté d'homme du peuple qui s'est élevé à la force des bras, fera de lui un héros national.
À Lima, Ismael, patron d'une riche compagnie d'assurances, se voit menacé par ses deux fils, qui convoitent sa fortune en souhaitant sa mort. Là encore, l'homme saura répondre à ces menaces, et sera tout aussitôt doté par le romancier d'une aura héroïque.
Mais il ne faut pas prendre leur épopée trop au sérieux. Car entre le mélodrame et le vaudeville, Vargas Llosa s'amuse, et nous amuse, avec ces deux histoires qu'il mène avec brio et dont le résultat final est une œuvre drôle, corrosive et magistralement écrite. Le lecteur y reconnaîtra souvent le ton moqueur de La tante Julia et le scribouillard et de Tours et détours de la vilaine fille. Mais il retrouvera surtout avec plaisir l'univers de don Rigoberto et de Fonchito, du sergent Lituma et du capitaine Silva, tous à nouveau réunis dans ce portrait critique du Pérou contemporain.

jeudi 23 juin 2016

Tête à tête avec Jean-Marie Kassab


Suite à ma lecture de Les Yeux d'Astrid, j'ai souhaité en savoir un peu plus sur l'homme qui nous a offert ce roman si enrichissant.  Le Liban traverse les frontières et s'installe chez vous par l'intermédiaire de Jean-Marie Kassab qui a la gentillesse de répondre à mes questions. Un grand merci Monsieur Kassab.



Quel lecteur jeunesse étiez-vous ?

Etant jeune je dévorais carrément tout ce qui me tombait sous la main, et comme tout le monde, « le club des cinq » ou « le clan des sept » tenaient une bonne place sur mon étagère. Quelques petites années plus loin, je développai une nette préférence bien sûr pour la science-fiction, les récits de guerre ainsi que les thrillers. J’ai lu tout Jules Vernes. Isaac Asimov me fascinait et m’a même marqué j’ose dire. A ce jour, je préfère les auteurs qui ont quelque chose à dire ou avancer tout en vous racontant une belle histoire. Quant aux thrillers, l’auteur le plus lu de l’époque était Alistair Maclean et je ne m’en privais pas.


Pouvez-vous nous parler du livre qui vous a le plus marqué ?

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Question difficile à répondre puisqu’ils sont plusieurs. Mais je peux vous révéler que « Les mémoires d’Hadrien « de Yourcenar, ou « Season of migration to the north »de Tayeb Saleh dans sa version anglaise bien sûr, et aussi « The Great Gatsby » de Fitzgerald , figurent en bonne place sur ma table de chevet. Apres les avoir lus tellement de fois, ce n’est plus histoire qui m’enchante mais la quiétude que me procure leur narration. Ces romans me font du bien. Ils ressemblent à un morceau musical dont on ne se lasse jamais. Je devrai citer aussi et sans hésitation « Sinouhé l’égyptien »de Mika Waltari qui m’a rouvert les yeux sur une de mes grandes passions qui est l’histoire.


pour en savoir plus sur le livre


Comment en êtes-vous arrivé à l'écriture ?

Tout un concours de circonstances. J’avais toujours voulu écrire sans y parvenir. Ecrire exige beaucoup de temps et d’effort qui pour un long moment m’était impossible à mobiliser. Il faut beaucoup de détermination et énormément de rigueur. C’est un projet à très haut risque pour un débutant. Avant tout il se peut qu’on s’arrête à n’importe quel moment pour n’importe quelle raison. Ensuite se faire publier est loin d’être évident, et si y on parvient les ventes risquent très forts d’être décevantes et en conséquent décourager la poursuite de l’entreprise.

Dans quelles conditions écrivez-vous ?

J’écris surtout le soir ou plutôt tard la nuit, une fois les tâches quotidiennes achevées, le travail / gagne –pain , le brotberuf comme l’appelait Kafka fini, et les enfants aux lit. C’est là où je plaque mon casque sur les oreilles et me mets au boulot et rédige en écoutant ma musique sans déranger la maisonnée. Il m’arrive de le faire le jour , mais souvent la qualité des textes que je pianote durant la journée reflète les tensions du moment et je me revois en train de tout effacer le soir même ou réécrire.

Dans votre roman, les yeux d'Astrid, le personnage principal perd tout afin de comprendre l’essentiel de la vie. Une totale reconversion. En lisant votre bio, on découvre que vous aussi vous avez choisi de changer de vie. Vous reconnaissez vous en Francis ?

L’auteur est partout dans ses personnages. Cela est inévitable. Un auteur qui consciemment refuse d’insuffler un peu de son âme dans son récit ou dans ses personnages fournirait un récit en plastique et des personnages factices et sans chair . On s’inspire tous des facettes de notre vie personnelle ou de notre expérience mais sans plus. Sauf qu’un bon auteur est censé avoir l’œil observateur et surtout savoir écouter les gens qui l’entourent de façon à pouvoir retranscrire tout ça dans son récit en y apportant l’intensité de sa plume dans le choix des mots.
Par contre je ne me reconnais pas du tout en Francis. Nos parcours sont différents. J’ai eu une enfance très heureuse quand la sienne l’était moins. Je n’ai jamais été riche, je n’ai jamais sacrifié ma famille pour mon travail comme lui l’a fait. Par contre. je partage certaines de ses idées vis-à- vis de beaucoup de sujets ou sa vision du monde.

Votre roman connait une belle réussite au Liban, et commence à se faire connaitre en France. A votre avis pourquoi touche t'il autant les lecteurs quelque soit le pays ?

Il est vrai que LES YEUX D’ASTRID est apprécié au Liban, j’espère qu’il le sera autant en France et les autres pays francophones où les ventes progressent aussi. Je dis « apprécié » simplement que les plus beaux retours que j’ai reçu à son propos sont ceux qui me prouvent que le lecteur a bien lu et approfondi le roman, et lui ait donné sa juste valeur et non comme un simple divertissement. De nombreuses personnes m’ont révélé que le roman leur avait ouvert leurs propres yeux et c’est là où j’estime avoir fait du bon travail.

Quel est le rôle d'un auteur pour vous ?

Un auteur est censé avoir des choses à dire au lecteur, bien sûr à sa façon et de la manière la plus agréable possible, et non seulement aligner de jolis mots. Un agent littéraire américain m’avait impressionné dans une interview en s’excusant auprès des nombreux auteurs dont il rejetait les manuscrits malgré les belles phrases dont leur roman est truffé. Cet agent se retrouvait selon lui avec de très jolis mots mais une fois le livre fermé, il ne lui restait aucune idée dans la tête, aucune émotion, aucune réflexion, aucun bienfait qui pourrait perdurer.

Je vous offre la possibilité de rencontrer l'auteur (encore vivant ou non) de votre choix, lequel choisissez-vous?

Vous me limitez à un seul quand j’aimerai les rencontrer tous. Mais puisque la question me semble utopique quoique bien intentionnée, je dirais Carl Sagan qui nous a quittés depuis quelques années. Nous partageons les mêmes passions, la conquête de l’espace, la science en général ainsi que la littérature. Nous aurions passé des nuits entières à papoter, les yeux vissés sur un ciel étoilé.

Si vous pouviez ôter un défaut à l’humanité.

Je dirai la cupidité ! Ce sentiment qui fait que l’homme veuille le bien des autres et non se suffire de ce qu’il a, ou faire l’effort d’en avoir plus sans faire du mal autour de lui. Ceci est valable aussi pour les collectivités ou les pays ca ce fut dans beaucoup de cas la cause des grandes guerres durant l’histoire.

Quel personnage de fiction aimeriez-vous être ?

Capitaine Jean-Luc Picard, le commandant de bord de la série Stark Trek joué par Patrick Stewart. La position, le travail (faire le tour de l 'univers) , la sagesse bienveillante de ce personnage m’ont toujours fait plaisir.
(Je me permets d'intervenir ...Vous avez trop de cheveux Monsieur Kassab !)

La musique ou chanson qui vous donne des frissons?

Je suis grand mélomane et le choix semble difficile. Je dirais sans doute « Rain »de Jose Feliciano.
Sachant qu’un gros tas d’autres musiques sont et seront toujours au top pour moi comme « Les moulins de mon cœur » la version Française de Frida Boccara ou celle en anglais de Dusty Springfield. Je devrai ajouter sans hésitation « The year of the cat « d’Al Stewart . Pour le classique, je dirai le requiem de Mozart , que j’ai écouté sans aucun doute des centaines de fois, surtout un passage dans un mouvement particulier ou deux petites notes me font réellement frissonner comme vous le dites.

 Avez-vous un projet en cours que vous aimeriez partager avec nous ?

Bien sûr. La continuation des Yeux d’Astrid qui est en cour de rédaction. La parution des versions du roman en d’autres langues. La parution de mon Thriller LE GUERISSEUR écrit avant Les yeux d’Astrid mais dont la parution a été retardée plusieurs fois de suite. Ceci dit je travaille sur plusieurs autres romans ainsi qu’une parution non fictive qui paraîtra dans quelques années

Un grand merci pour vos réponses, je vous laisse le mot de la fin.

Je voudrais vous remercier pour le temps accordé ainsi que les petites questions sympathiques auxquelles j’ai eu grand plaisir à y répondre.

mercredi 22 juin 2016

Saint-Maur en Poche 2016 c'est fini !

Voila Saint Maur en Poche édition 2016 est terminé. J'ai passé un week-end entre euphorie avec les potes, admiration pour l'accueil et le professionnalisme du salon (qui je dois le rappeler était bien plus grand que l'année dernière) et enrichissement des rencontres auteurs, lecteurs, blogueurs .

Il y a beaucoup à dire sur un salon ! Et beaucoup a déjà été dit avec les divers compte-rendu de mes amis blogueurs . Que puis-je vous dire de plus ? Je vais essayer de vous montrer le salon d'un œil différent. Donc vous ne verrez pas ici des photos de moi avec tout pleins d'auteurs, tout simplement parce que je suis si pipelette que j'oublies les photos ! Et je précise que les photos ici présentes ont pour la plupart été prises par mon amie Christelle ! Merci à elle de nous bombarder de photos et me permettre de lui en voler quelques unes !

Le salon tout d'abord c'était ça ! Je peux vous dire que les allées ont été piétinées dans un sens puis dans l'autre de nombreuses fois ! Mais nous avons particulièrement apprécié le petit 4 ...Pour ses tables et chaises :)


Tout débute dès la sortie du RER, puisque Saint Maur avait mis à disposition une navette qui faisait la liaison entre la station et le salon. On accueille bien ou pas du tout, la Griffe Noire et la municipalité ont pensé à tout !

Du coup, moi je saute dans la navette avec un certain Nicolas Lebel . Une navette rien que pour nous deux ! Heu tout ce qui se passe dans la navette reste dans la navette ;) N'est-ce pas Nicolas !


Arrivée enfin sur place (et oui cela fait juste 1h30 que je suis dans les transports) je découvre mon Parc d'attraction ! Avec un décor superbe ...

Deux scènes pour les conférences ! Décorées à la mode anglaise bien entendu ! voici la scène de la Griffe noire.

Et une seconde (la scène des déblogueurs si vous zieutez le plan) où j'ai pu assister à 3 tables rondes très chouettes

Michel Bussi et Yvan du Blog Emotions
Gaëlle Perrin-Guillet, Gilles Bornais et Bob Garcia


Nicolas Lebel, Valentin Musso et Athénaïs (ne me demandez pas le nom de la quatrième personne !)
En sortant de cette scène on tombe sur un espace détente ! Qui loin de la foule des allées, personnellement je vous conseille de venir le matin car l'après-midi c'est une foule en délire et pleins d'hurluberlus. Oui il me reste en mémoire quelques histoires étonnantes comme cet homme qui prend un livre à un auteur. Lui dit qu'il est venu la veille mais comme l'auteur n'était pas là il revient aujourd'hui. Lui prend le bouquin sans demander de dédicace. L'auteur étonné lui propose donc d'écrire un petit mot. Ce Monsieur lui répond : Oh oui si vous voulez. Ecrivez  bonne lecture ou quelque chose comme ça ...L'auteur lui demande son prénom et obtient comme réponse : oh mon nom n'a pas d'importance ! Étonnées, avec mon amie Sam, nous intervenons dans la conversation en disant que si c'est plus sympathique. L'homme nous regarde et nous repond : Oh je vais écrire mon nom en lettre de feu ...Moral de cette histoire: Ne jamais intervenir dans une conversation quand on se rend compte que c'est mal barré ! Chapeau à l'auteur ! Mais revenons à la sortie de la scène des déblogueurs, vous pouvez faire une sieste entre deux nuages de pluie. Pour la sieste c'est véridique ...je ne donnerai aucun nom !


L'Angleterre ne serait pas ce qu'elle est sans sa reine, ce salon non plus ! Le sosie officiel a déambulé tout le week-end dans les allées pour se faire prendre en photo avec ses plus grands fans 


Et son trône !
Mon ami Dav et Armelle Carbonel


Pour finir, histoire que vous visualisez bien tout ! Vous aviez des affiches un peu partout (Si vous connaissez la librairie la Griffe Noire vous ne serez pas étonné ) et des petits drapeaux ..Seul bémol certaines affiches étaient vraiment grandes et nous cachaient un peu les auteurs !


Voila nous avons fait le tour , je vous conseille de lire les compte-rendu de David, Yvan et Mélie qui seront un peu plus sur les auteurs et festifs (et tout à fait représentatif de l'ambiance du salon )

Je termine par vous montrer les futurs chroniques avec mes achats 
Et juste pour me faire mentir, mon amie Christelle a réussi l'exploit de me prendre en photo avec Bob Garcia ! (Pas peu fière la fille tout de même :) )



lundi 20 juin 2016

Block 46 - Johana Gustawsson


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Falkenberg, Suède. Le commissaire Bergström découvre le cadavre terriblement mutilé d’une femme.
Londres. Profileuse de renom, la ténébreuse Emily Roy enquête sur une série de meurtres d’enfants dont les corps présentent les mêmes blessures que la victime suédoise : trachée sectionnée, yeux énucléés et un mystérieux Y gravé sur le bras.
Étrange serial killer, qui change de lieu de chasse et de type de proie…
En Suède, Emily retrouve une vieille connaissance : Alexis Castells, une écrivaine pleine de charme spécialisée dans les tueurs en série.
Ensemble, ces deux personnalités discordantes se lancent dans une traque qui va les conduire jusqu’aux atrocités du camp de Buchenwald, en 1944.

dimanche 12 juin 2016

Les yeux d'Astrid - Jean-Marie Kassab


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Victime d'un père autoritaire, Francis, travailleur acharné devenu millionnaire fait récemment faillite. En instance de divorce de surcroît, le cumul des problèmes le mène au désespoir. Envisageant pour un moment le suicide, il se retrouve au hasard des routes face à face sur une plage déserte avec une inconnue prénommée Astrid. À travers quelques questions judicieuses, Astrid ouvre les yeux de Francis, l'aide à identifier ses problèmes réels et à poursuivre sa quête du bonheur pour retrouver la joie de vivre qui était en fait à portée de main. Leur débat prend la forme d'une vraie leçon de vie.Les dernières pages du récit réservent au lecteur des développements inattendus.

samedi 11 juin 2016

Résultat du concours Saint Maur En Poche


Il y a quinze jours, j'ai lancé un concours pour vous faire gagner un livre poche de votre choix.
Il est temps de faire le tirage au sort. Attention, roulement de tambour



Voila ma belle j'attends le titre du livre que tu choisis et je te le donnerai directement samedi ;)

Merci beaucoup pour vos participations..Et j'espère vous voir nombreux au salon de Saint Maur en Poche  



mercredi 8 juin 2016

Jeudi noir - Michaël Mention


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8 juillet 1982, Séville. Coupe du monde de football, demi-finale France-R.F.A.L'ambition contre l'expérience. L'espoir porté par Mitterrand contre le fatalisme du mur de Berlin. Et pour les deux équipes, une même obsession : gagner sa place en finale.Face aux puissants Allemands, Platini, Rocheteau, Giresse? une équipe de France redoutable. Mais le pire s'invite : les coups pleuvent, le sport devient guerre, et la mort arbitre.Pour la première fois, le match mythique vécu en direct, sur le terrain. Une expérience radicale, entre exaltation et violence.